POUSSER AU VICE....... LE MARIAGE DEVIENT OBLIGATOIRE..

 

 

Mon histoire avec A....., etait a la base, une histoire somme toute, simple, de deux personnes qui se rencontrent via le net, en ne sachant pas ou se trouve l'un ou l'autre....

 

Les attachements n'ont pas de frontieres, pas de politiques, pas de raisons, ni de visa...

 

Notre histoire est sincère, mais prise dans le tourbillons des abus en tous genre... Abus de Vahazah persuadés que seul leur charme naturel,  les fait attirer les jeunes malgaches de 40 ans leur  cadette, ou de ses memes Malgaches, attirant, de par leur beauté naturelle, les pauvres vahazah perdus, et seuls de France ou d'ailleurs....

 

Nous voulions avoir l'opportunité de nous connaitre mieux... Par un visa tourisme, pour voir si 1 mois ensemble confirmait nos sentiments, et si nous pouvions apprendre de nos cultures differentes... mais le combat et les refus, nous ont poussé a penser rapidement au mariage....

 

Bon nombre de mariages acceptés, finissent aussi par des divorces... Ils ne sont pas gage de reussite, de sincerité.... et les gens se retrouvent dans des situations de M..... !!!

 

Ne vaut il mieux pas laisser un visa tourisme, afin de verifier la sincerité et la possibilité de vie ou d'histoires communes, plutot qu'un mariage de personnes qui se connaissent peu, et peuvent rapidement se retrouver en conflit, en divorce.... ????????

 

Fin octobre 2011... Après maintes periples nous avons décidés de nous marier simplement a TANA, sans CCM, petit mariage, non reconnu en France, mais qui etait fait, avec tout autant d'amour... Je suis donc mariée reconnue, par Madagascar, mais pas en France, depuis le 20 Octobre 2011. 

 

SE MARIER A MADAGASCAR......

 


II - Mariage devant les autorités locales

1.Les conditions de compétence des autorités locales pour célébrer un mariage

Les autorités locales sont compétentes pour célébrer tous les mariages à Madagascar, quelque soit la nationalité des époux, à condition qu’au moins l’un d’entre eux réside dans le pays.

2.Publication des bans

La loi du 14 novembre 2006 relative au contrôle de la validité des mariages a modifié l’article 63 du Code Civil afin de clarifier la chronologie des formalités préalables à la célébration d’un mariage.

La publication des bans est dorénavant subordonnée à la remise d’un dossier complet et de l’audition des futurs époux. Cette mesure de publicité consiste en l’affichage du projet de mariage dans les locaux du Consulat et, si l’un des époux réside en France, à la mairie de son domicile, à la demande du consulat général. Après 10 jours d’affichage au Consulat et, le cas échéant, la réception du certificat de non-opposition envoyé par la mairie française, le Consulat Général délivrera un certificat de capacité à mariage (CCAM).

Le délai de traitement avant la délivrance du certificat de capacité à mariage (CCAM) dépendra du mode de saisine :

1er cas : Dépôt conjoint de la demande de CCAM au Consulat : Sous réserve de la remise d’un dossier complet, l’audition des futurs époux sera réalisée à l’occasion de cette démarche par un agent consulaire. La réalisation de cette procédure fait alors courir un délai de traitement de 2 mois.

2ème cas : Dépôt au Consulat d’une demande de CCAM par le futur conjoint étranger : Cette situation peut se présenter si le futur conjoint, résidant en France, n’a pu se déplacer à Madagascar pour déposer sa demande. Sous réserve de présentation d’un dossier complet, l’agent consulaire procèdera à l’audition du déposant. Parallèlement, le Consulat demandera, à la commune de résidence en France du futur conjoint, de réaliser son audition. Le dépôt du dossier complet au consulat fait alors courir un délai de traitement de 4 mois.

 

3.La célébration du mariage par les autorités locales :

Les futurs époux doivent se renseigner directement auprès des autorités locales. Téléchargement du dossier de demande de certificat de capacité à mariage.

- CONDITIONS DE VALIDITE DU MARIAGE DES FRANCAIS CELEBRE A L’ETRANGER :

Il est conseillé à tout ressortissant français qui envisage de se marier devant une autorité malgache de prendre contact avec le Consulat Général de France à Tananarive avant la célébration de son union afin que les formalités de publication des bans puis la délivrance du certificat de capacité à mariage soit effectuées.

L’article 170-1 nouveau du code civil pose le principe de l’obligation pour l’agent diplomatique ou consulaire de procéder - au moins une fois - à l’audition des futurs époux ou des époux.

Il appartient à la personne de nationalité Française et à son futur conjoint de comparaître au service de l’état civil du Consulat Général de France à Tananarive soit au moment du dépôt de dossier de publication des bans, soit au moment de la délivrance du certificat de capacité à mariage, soit au moment de la transcription en mettant à profit son séjour à Madagascar afin que cette audition puisse avoir lieu.)

4. La transcription de l’acte de mariage sur les registres consulaires français :

Une fois le mariage célébré, le conjoint français peut solliciter la transcription de son acte de mariage sur les registres consulaires français sur présentation des pièces indiquées dans le document à télécharger ci-dessous :

PDF - 111.9 ko
MARIAGE demande de transcription12/09

Pour en savoir plus

Transcription d’un mariage à l’étranger sur France Diplomatie

5- Copies et extraits de votre acte de mariage :

Par la suite vous pourrez vous adresser au service central d’état civil Lien vers France Diplomatie ou au consulat général pour obtenir des copies de votre acte de mariage.

III - L’audition

Vous serez convoqué au service de l’etat civil du consulat général à un entretien, conjoint ou séparé, qui a pour objectif de vérifier que le mariage est conforme au droit français et qui doit se dérouler avant la publication des bans de votre mariage. Le (ou la) futur(e) époux(se) de nationalité française qui réside en France, sera auditionné(e) par la mairie de son lieu de domicile à la demande de ce consulat général de France. A l’issue de cette audition, si le consulat général estime que le mariage est susceptible d’être annulé au titre des articles 180, 184 ou 191 du code civil, il peut décider de surseoir à la transcription de l’acte de mariage et saisir le procureur de la République de Nantes. Si le procureur de la République de Nantes ne poursuit pas la nullité du mariage ou ne donne aucune instruction au consulat général dans un délai de 6 mois suivant la saisine du ministère public, l’acte de mariage sera transcrit.

 



12/08/2011
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